• M'enfin je ne pense même pas qu'il comprendrais...

    There's a look on your face I would like to knock out
    See the sin in your grin and the shape of your mouth
    All I want is to see you in terrible pain
    Though we won't ever meet I remember your name

    Can't believe you were once just like anyone else
    then you grew and became like the devil himself
    Pray to God I think of a nice thing to say
    But I don't think I can so fuck you anyway

    You`re a scum, you`re a scum and I hope that you know
    That the cracks in your smile are beginning to show
    Now the world needs to see that it's time you should go
    There's no light in your eyes and your brain is too slow

    Can't believe you were once just like anyone else
    then you grew and became like the devil himself
    Pray to God I can think of a nice thing to say
    But I don't think I can so fuck you anyway

    Bet you sleep like a child with your thumb in your mouth
    I could creep up beside put a gun in your mouth
    makes me sick when I hear all the shit that you say
    so much crap coming out it must take you all day

    There's a space kept in hell with your name on the seat
    With a spike in the chair just to make it complete
    When you look at yourself do you see what I see
    If you do why the fuck are you looking at me

    There's a time for us all and I think yours has been
    Can you please hurry up cos I find you obscene
    We can't wait for the day that you're never around
    When that face isn't here and you rot underground

    Can't believe you were once just like anyone else
    Then you grew and became like the devil himself
    Pray to god I can think of a nice thing to say
    But I don't think I can so fuck you anyway

    So fuck you anyway


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  • Merci pour ce moment merveilleux...

    Merci de donner un sens a tout ce bordel que peut être la vie...

    Merci d'avoir une bouche aussi sexy...

     


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  • À l'Opéra, le mec répète une dizaine de fois qu'il a grave la dalle, histoire qu'il l'on comprenne bien. À l'Opéra, quand on s'habille rebelle, on nous regarde du style "oh, une fille de coco, on ne devrait permettre cela!". À l'Opéra, des fois, on ne sait pas quand applaudir, alors un boulet applaudit n'importe quand, nous on le soutient (les boulets j'connais trop ça). Sur scène, les chanteurs et musiciens patientent, puis reprennent, comme si c'était naturel. J'crois que c'est notre façon à nous de dire "putain abrégez, on commence à se faire chier".

    À l'Opéra, j'prends pas mon pieds avec la musique, les chanteurs se répètent beaucoup trop, la musique ne m'inspire presque aucunes émotions. Mais bon, j'avoue que les belles robes, la femme à poil et le "ils finirent heureux et eurent beaucoup d'enfants" ont suffit à me contenter.

    À l'Opéra, sois on est riche et on vois tout, sois on ne l'est pas et on ne voit rien. À noter, que sur Lyon, la Traviata sera diffusée, sur écran géant en plein air le 3 juillet 2009.


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  • J'pensais à elle... Encore... Parce que l'écouter le matin, danser quand j'enfile mes résilles, la mettre pour aller au lycée, et en en revenant ce n'est pas suffisant... Enfin une artiste vrai, qui a inventée quelque chose, elle a enrichie le monde musical pour toujours... Bref, elle est unique!


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  •  15h, arrivée à Lapardieu. Je croise Laura et la salut. Elle m'annoce que Alexandre Astier ne sera pas là. Ca commence bien! Je me rends compte de rien, je me mets derrière la longue file d'attente. Nous mangeons, rions, je feuillette mon cours d'histoire un peu compliqué... La file avance. Simon s'endort, je commence à me rendre compte de ce qui va se passer, et des petits coups d'émotions s'emparent de moi. La file avance. Déjà 2 heures que nous attendons... Laura me rejoint, elle est toute sourire et m'annonce, en me montrant une photo, que KARADOC ("le gras, c'est la vie !") attends à l'entrée et signe des autographes... Ni une ni deux, je sors la BD. Quelques minutes plus tard, nous sommes à sa hauteur. Une montée d'émotions me submerge. Je me sents rougir... Nous le saluons, il nous signe un autographe. Et on le prend en photo. Légèrement déçue je l'attendais plus drôle et... Enfin... Il ma parait quelqu'un de sinistre... Il passe son chemin et continu à signer des autographes... J'essai de le prendre en photo encore et encore, parce que quand même faut pas déconner...Clément émet l'idée d'aller fumer et me donne envie mais nous ne pouvons abandonner notre poste!!! La fatigue commence à nous submerger. Je commence à lire la BD pendant que Loulou reste par terre et  que Simon lit. Quelqu'un détourne mon attention. Je lève les yeu. Un homme attire les regards et les sourires, une mec le reconnaît : VENEC, l'infâme vendeur d'esclaves. Incroyable, on ne le reconnaît pas : propre, sans chapeau ni barbe. Je le préfère dans la série mais il est bel homme. Nous lui parlons... Simon me prend en photo avec lui. Il est souriant, très agréable. Mais les fans, y'en a plein, il part. L'attente est longue, j'ai très envie de fumer et je ne sais pas qui je vais voir... J'ai mal aux jambes. Nous avançons. Cela fait maintenant 3h30 que nous attendons.

    ENFIN ! On aperçoit des personnes. Tout d'abord un euh... un peu enrobé mais surtout à l'air qui fait un peu peur, comme ces motards avec le bouc, en perfecto. Mais qui est ce ? Je regarde. KADOC  ("Elle est où la poulette ?") !!! Puis, un plus petit, mince aux cheveux court et blanc à l'air incroyablement familier et agréable. Vous l'avez deviner : Perceval ("c'est pas faux") je me dit que si il est là, déjà ça valait vraiment le coup. S'en suit, et je le reconnaît tout de suite, un personnage que j'admire peu, mais qui me parait plus agréable que dans la Série : Bohort (MECREANNNNNNN !) !!! Puis, ôh, ôh, ôh... Qu'est ce qu'il est beau... Rrr Rrr, GAUVIIN ! Bref, s'en suit un vieil homme au cheveux court : Merlin, qui ne m'inspire pas grand-chose, puis, enfin, oh, le regard sévère et dur: le fameux beau père raleur.( Je me dits: « Il a du en chier le p'tit Astier »)!

     

    Nous avançons. Je ne peux m'empêcher de les regarder, j'essais même de prendre des photos, mais, comme me le fait presque gentiment un mec derrière, ça sert à rien ! Nous avançons, je commence à dire des conneries et à être un peu énervée...  Nous avançons lentement. J'observe toute ses personnes que j'admire et qui m'ont fait passer de si bons moments, et ses fans qui sourient et se font singer des autographes. La file avance. Ca me parait tellement lent soudainement. Une blonde laisse passer deux jeunes et pas moi. Snif ! J'observe et remarque que chaque acteur a des toblorones. Le Beau père me voit et me lance « qu'est ce qu'il y a ? » Je réponds sinèrement, mais je me sents affreusement gênée. On passe. OH surprise, ôh miracle : le beau Yvain arrive !!! Karadoc lance une vanne. Yvain salut tout le monde. Puis il y en a un autre, un blond, particulièrement bien foutu, qui joue un... Euh... Un con... mais je me rappelle juste de la phrase « je suis trop soulé » mais je sais plus qui sait.

     


    Bref, la blonde nous laisse passer. "ENFIN", j'ai envie de dire ! Je commence donc par Yvain, le salut et lui dit « Euh... Pour la famille G****** », il parle et signe la BD. Je le remercie, avec un large sourire. Je reproduis ça 5 fois. Je suis suivie de mon frère, qui dit la même chose que moi, et de Clément...  Au fur et à mesure, je remarque que les acteurs sont amusés du fait de signer "pourla famille G******" à plusieurs reprises. Je me suis un peu décoincée quant est arrivée le tour de Kadoc et Perceval. Je leur ai avoué combien j'aimais cette série. Ils ont souris, je sais plus ce qu'ils ont répondus. Arrive le moment de prendre des photos. Je les prends avec Clément. Bref, en gros, arrivée au bout de la table je repars en sens inverse en me plaçant derrière les acteurs.  Ainsi dans l'ordre, Loulou a photographié, Perceval et Kadoc, Bohort et Gauvin, puis le beau père et Yvain, mais Merlin était parti. Il y avait donc un siège vide entre Yvain et le beau père et l'un des deux me propose de m'asseoir (énorme) j'accepte ! Comment refuser ? Et voilà la super photo est prise. Nous partons. Ils nous salut et certains nous disent même : « au revoir la famille G****** ». Enorme !

     

    Voilà, nouvelle galerie ici!

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